, Quand sonne l’heure de l’été
, Quand tous mes proches s’en vont
, Telles des feuils qu’emporte le vent
. Seul dans mon beau jardin sacré
Je me repose sous l’ombre du palmier
, Attirés par la verdure des champs
Mes yeux décident de se promener
. A travers les bois dormants
Là bas, une jolie fée apparaît
Fraîche comme la braise de l’été
Charmante comme un ange souriant
Je revois les souvenirs du passé
Durant un long moment
Je revois ma mère en train de chanter
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