Serein , j’admire la lumière
Du jour qui brille au dessus
Des eaux de la belle mer
Telle une comète descendue
Du ciel à la recherche d’une terre,
D'un nouvel abri dépourvu
De tristesse, de peine amère.
Seul, dans les champs dorés
De la campagne endeuillée,
Je contemple la faune assoiffée
En attendant, l’eau bénie ,
En attendant la belle pluie ,
Qui charment les pauvres
Ruisseaux telle une lyre,
Sans chants , sans mélodies.
Brusquement, le vent a violé
La tranquillité des petites plantes
La tranquillité des petites plantes
Qui se mettent à bouger, à danser,
Enivrées par le chant des sirènes !
Esseulé dans mon univers ensoleillé
Heureux, je m’en vais
Vers un autre paradis doré.
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