,Le temps comme le vent
,Comme la blanche neige
,Au dessus du fier mont
.Veille sur la vierge terre
,Tel un Chronos avide de sang
Il engloutit sans âme
.Ses petits chétifs et souffrants
Et anéantit aussi le rêve
De l'oiseau qui, volant
,Au dessus des champs
Interrompt son long voyage
Ainsi que son charmant chant
Laissant toute la place
.Aux vautours méchants
La tristesse envahit le bois dormant
Mais un furieux vent sauve
La belle flore qui espère
Retrouver l'oiseau chantant
Une violente tempête éclate
.Et éloigne les rapaces malveillants
Le jour suivant, la nature retrouve
Son éclat; le soleil est brillant
Les hommes, la flore et la faune
Les hommes, la flore et la faune
Sont heureux, en attendant
De retrouver la joie et le sourire
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