Il n'y a que la mer
Qui m'attire,
Il n'y a que la terre
Qui m’afflige.
Endormi, dans les bras, de ma chère,
je profite de ses caresses et sa tendresse.
Attiré par cette tendre chaire,
Par le parfum de cette déesse,
Belle et souriante que j’aime.
Je revois la silhouette de ma maîtresse
Et regrette mes erreurs et faiblesses,
Tout ce qui est amer et éphémère.
Le matin, la mer embrasse
l'horizon de la belle terre
le soleil illumine
Le doux et sensuel paysage.
Ainsi, je retrouve de belles
Sensations maternelles
Et revois le splendide visage
De ma chère mère
Qui m'invite à danser,
me sourit et me souhaite
Une longue vie sur cette terre.
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