A celle qui s’appelle Maria ,
A la mère , A la vierge , à Alméria,
Cité où fut adorée la chère Maria
Rêves et chimères de celui qui cria,
Le nom de sa bien- aimée la vierge maria
Ivre comme un bateau, amoureux d’Arabia
Emporté par le vent maudit vers Alméria
Là git sa belle, douce comme une braise, Maria
Le bateau s’amarre emportant les souvenir de Valéria,
De Maria, belles muses qui charment ce natal d’Arabia
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire