La plus belle des anges
N’aime pas qu’on la dérange ;
Cette créature céleste , cette fée
Cette femme bien- aimée
Préfère les adorables louanges
D’un pauvre fou esseulé
Dans son paradis, enivré
Par le parfum des anges !
Seul au monde, il songe,
Aux mal- aimés, aux marginalisés
A tous les rêveurs, les penseurs sacrés
Qui savent qu’ils dérangent
Mais qui n’hésitent pas à répéter
Les mêmes mots qui soulagent :
« Il faut désormais que ça change. »
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